vendredi, décembre 22, 2006

Amour, petits fours et GBBG 46



Chers adeptes,

Il est avéré que nous sommes en pleine période de bisous, de bons sentiments et de calins partagés.
C' est la trêve, on pose les armes et on fait ami-ami avec le pire de nos ennemis.

C' est un peu cela l' esprit de Noël et ne croyez pas que, tout cynique qu 'il soit, Bernard Grancher y soit insensible, bien au contraire et c' est pour expier mes fautes et expurger ma haine que je me replonge dans mon catéchisme pour y retrouver un semblant de grâce baptismale.
Le GBBG 46 est donc gorgé d'Amour, enfin... Disons qu 'il est gorgé de ce que Bernard Grancher croit être l'amour.Après, c' est à vous de juger.
Pour une fois, le GBBG n' est pas annoncé comme une catastrophe sonique mais comme une embrassade radiophonique entre votre gourou et le genre humain.
Nous nous reprendrons dès 2007 avec nos mauvaises résolutions. Les bonnes ne sont jamais tenues de toutes façons.


Toute l' équipe du GBBG vous souhaite malgré tout de bonnes fêtes de fin d' année dans un consummérisme exacerbé par l' envie de ne pas passer à côté de l' instant magique durant lequel on observera votre regard s' éclairer alors que vous ouvrirez vos cadeaux et où vous vous ferez des bisous baveux en scandant des "Bonne année" avant d' aller dégueuler votre champagne frelaté et de replonger dans le vide d' une autre année et de recommencer les même choses qui vous donneront l' impression d' exister.


ACHETEZ CONSOMMEZ VOTEZ !

Et continuez d' écouter le GBBG car c' est peut être la seule chose qui permet à Bernard Grancher d' exister

Bernard Grancher

mercredi, décembre 06, 2006

Le retour de Erwin Schmitt, double schizo de Bernard Grancher


Chers adeptes,

Le GBBG 45 a échappé à mon contrôle et seul, mon double, Erwin Schmitt doit être tenu pour responsable de ce désastre.
Il m' est parfaitement impossible de mettre à jour une quelconque playlist étant donné l'enchevrettrement catastrophique de sons divers que mon alter-égo s' est ingénié à agencer ici.

J' ai bien essayé de recoller les morceaux, de distinguer des bribes de musiques connues de moi mais, si je reconnais parfois un morceau de Beatles par ci, un bout de zouk (!!!!) par là, j' avoue que je dois baisser les bras tant la tache parait ardue.

Pourquoi alors laisser cet amas sonore dériver jusqu ''à vos oreilles ?
Et bien, figurez vous que malgré tout, j' ai éprouvé énormément de plaisir à me perdre dans les méandres inextricable de cette mise en son et que je désirais vous faire partager mes sensations.

Voilà

Bon plaisir

Bernard Grancher